Elle avait été condamnée en 2015 à vingt ans de prison pour "atteinte à la sûreté de l'État". Lors d'un autre procès ouvert en 2016, Simone Gbagbo avait été acquittée des chefs d'accusation de "crime contre l'humanité" et "crimes de guerre" pour son rôle joué dans la crise post-électorale de 2010-2011, qui avait fait environ 3 000 victimes.
Le chef du protocole du président de l'Assemblée nationale Guillaume Soro, Souleymane Kamaraté Koné, alias Soul to Soul, arrêté en octobre pour "complot contre l'État" dans une affaire de caches d'armes, et l'ex-ministre de la Défense de Laurent Gbagbo, Moïse Lida Kouassi, ont également été amnistiés.
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