"J'ai une bonne part de responsabilité..."

mardi 28 mars 2023 • 1630 lectures • 1 commentaires

Sport 11 mois Taille

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iGFM (Bamako) Demba Mbaye l'entraîneur de l'équipe U23, a analysé la défaite de son équipe, contre le Mali, ce mardi, à Bamako, dans le cadre des qualifications à la Coupe d'Afrique des Nations de la catégorie.

"L'analyse est simple, l'aversaire nous a pressés dans tous les domaines. Les joueurs n'ont pas su gérer l'aspect émotionnel de l'événement. J'ai une bonne part de responsabilité car c'est moi qui ai fait des choix. Il va falloir digérer cette défaite et voir, après coup, ce qui n'a pas marché."

2e période

"On n'a jamaos été orgznisé. On nétait pas présent ni dans le duel, la concentration. On a essayé de rectifier, de leur demander de se déplacer ensemble, d'être présents dans les duels. On a fait des changements, mais ceux qui sont entrés n'ont pas plus apporté que ceux qui sont sont sortis. On connaissait les enjeux de ce match, on n'a pas concrétisé. C'est logique que le Mali se soit imposé et aille à la CAN U23."

Confiance

"La première période, on était pas en confiance. On ne peut sortir d'une phase où on est pas en confiance, et se dire qu'on a eu un excès de confiance. C'est illogique."

Changement onze de départ

"On n'a pas chamboulé. C'est ce que les joueurs nous ont montrés à l'entraînement. Cheikh Oumar Ndiaye connait bien l'Afrique contrairement à Arona, même s'il est bon. Sané, on a pensé que l'excentré malien, très explosif, qu'il pouvait le contenir. C'était très difficile pour lui. Après, c'est un naufrage collectif. Les chox que j'ai fait n'ont pas été validés par les joueurs.

Le résultat à l'aller ne nous incitait pas à l'excès de confiance. Il fallait tout le temps se méfier de l'adversaire. A un moment, dans cette phase de concrétisation, on a laissé passer la qualification. Il nous manquait beaucoup de choses sur le terrain, les duels. On a semblé apathique, ni fait des efforts devant pour empecher la sortie de balle des Maliens. Cela n'a pas payé car ceux qui sont entrés n'étaient pas plus en jambes."

Mamadou Salif GUEYE (Envoyé Spécial à Bamako, Mali)

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Mamadou Salif

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