Saccage du journal Les Échos : Le Mouvement J’aime le Sénégal appelle au calme

mercredi 5 août 2020 • 540 lectures • 1 commentaires

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Saccage du journal Les Échos : Le Mouvement J’aime le Sénégal appelle au calme

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iGFM - (Dakar) Les membres du «mouvement citoyen J’aime le Sénégal» se sont exprimés ce mercredi 29 juillet 2020, dans l’après-midi, devant la presse, sur le récent saccage du journal les «Echos». Son président Moulaye Camara a appelé au calme avant de plaider pour un Sénégal stable.

«Est-ce une occasion pour jeter l'opprobre sur un mouvement et son guide qui ont réussi en un quart de siècle à  éduquer, orienter, former sur le plan religieux et citoyen des centaines de milliers de Sénégalais? », se demande d’emblée Moulaye Camara. A l’en croire, «l'acte est regrettable mais, le débat qu'on en fait qui suscite un jugement de valeurs est condamnable. Le Dahiratoul Moustarchidine Wal Moustarchidati  comme le PUR sont des entités que l'on reconnait par la discipline et le sens élevé du patriotisme. À travers l'éveil de conscience, Cheikh Seydou Mouhamadou Moustapha Sy a permis à la jeunesse de son pays de se ressaisir et de s'affirmer dans les chantiers du développement. Donc le Mouvement J'aime le Sénégal trouve inélégant de ternir l'image d'un si grand symbole qui fait la fierté du Sénégal parce que, dit-on, ces actes isolés, des erreurs supposées être commises par quelques partisans du Mouvement Moustarchidine», soutient le président dudit mouvement citoyen. «Récemment le saccage du domicile d'un journaliste par des disciplines qui ont trouvé que le porte-parole du Khalife a été contrarié, n'a pas été du goût de celui-ci. Au Sénégal, nous avons des Chefs religieux responsables et respectueux de l'Etat de droit. Leur posture ne leur permet aucunement de dicter des actes aussi ignobles. Les erreurs et dérives de certains fanatiques ne peuvent pas leurs êtres imputables. Ces religieux sont également très fatigués de voir une presse qui saccage quotidiennement les valeurs religieuses qui fondent la stabilité du Sénégal. L'ONG Jamra fait un travail remarquable mais, elle n'est pas suffisamment soutenue ni par l'État, ni par les auditeurs de presse. Le Sénégal, notre  pays que nous aimons tant nous appartient tous. Sa prospérité dépend de sa stabilité, et sa stabilité dépend de notre sens de discernement et de dépassement», a  conclu Moulaye Camara.

 

IGFM



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Daouda Mine

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